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J Obstet Gynaecol Can ; 37(12): 1079-85, 2015 Dec.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-26637080

RESUMEN

OBJECTIVE: To compare early versus delayed postoperative feeding in women undergoing major gynaecological surgery with regard to clinical outcomes, duration of postoperative stay, and patient satisfaction. METHODS: We conducted a parallel-randomized controlled trial at a tertiary care centre in Montreal, Quebec, between June 2000 and July 2001. Patients undergoing major gynaecological surgery were randomized following a 1:1 allocation ratio to receive either early postoperative feeding in which oral clear fluids were begun up to six hours after surgery followed by solid foods as tolerated, or delayed postoperative feeding, in which clear fluids were begun on the first postoperative day and solid foods on the second or third day as tolerated. The primary outcomes analyzed were duration of postoperative stay and patient satisfaction. Secondary outcomes included mean time to appetite, passage of flatus, and bowel movement, as well as the presence of symptoms of paralytic ileus. RESULTS: A total of 119 patients were randomized; 61 patients were assigned to the early feeding group and 58 to the delayed feeding group. Demographic characteristics, including age, weight, smoking status, and prior surgical history were comparable between both groups. There was no difference in length of postoperative stay between the two groups (86.4 ± 21.0 hours in the early feeding group vs. 85.6 ± 26.2 hours in the delayed feeding group; P > 0.05). No significant difference was noted in patient satisfaction (P > 0.05). No difference was found in the frequency of postoperative ileus, mean time to appetite, passage of flatus, or first bowel movement. CONCLUSION: The introduction of early postoperative feeding appears to be safe and well tolerated by patients undergoing major gynaecological surgery. The duration of postoperative stay, patient satisfaction, and gastrointestinal symptoms are comparable between patients undergoing early or delayed postoperative feeding.


Objectif : Comparer, chez des femmes devant subir une chirurgie gynécologique majeure, les effets de la reprise postopératoire précoce ou différée de l'alimentation en ce qui a trait aux résultats cliniques, à la durée de l'hospitalisation postopératoire et à la satisfaction de la patiente. Méthodes : Nous avons mené un essai comparatif randomisé parallèle dans un centre de soins tertiaires de Montréal, au Québec, entre juin 2000 et juillet 2001. Les patientes devant subir une chirurgie gynécologique majeure ont été affectées au hasard (selon un ratio d'attribution 1:1) à un groupe devant connaître une reprise postopératoire de l'alimentation précoce (dans le cadre de laquelle l'administration de liquides clairs par voie orale a été entamée dans les six heures suivant la tenue de la chirurgie, suivie de celle d'aliments solides, en fonction de la tolérance) ou différée (dans le cadre de laquelle l'administration de liquides clairs a été entamée au cours de la première journée postopératoire et celle d'aliments solides, au cours de la deuxième ou de la troisième journée postopératoire, en fonction de la tolérance). Les principaux critères d'évaluation analysés ont été la durée de l'hospitalisation postopératoire et la satisfaction de la patiente. Parmi les critères d'évaluation secondaires, on trouvait le délai moyen avant le retour de l'appétit, de l'expulsion de flatuosités et de la défécation, ainsi que la présence de symptômes d'iléus paralytique. Résultats : Au total, nous avons recruté 119 patientes : 61 patientes ont été affectées au hasard au groupe « alimentation précoce ¼ et 58, au groupe « alimentation différée ¼. Toutes les participantes comptaient des caractéristiques démographiques (dont l'âge, le poids, le statut quant au tabagisme et les antécédents chirurgicaux) comparables. Aucune différence n'a été constatée entre les deux groupes en ce qui concerne la durée de l'hospitalisation (86,4 ± 21,0 heures au sein du groupe « alimentation précoce ¼ vs 85,6 ± 26,2 heures au sein du groupe « alimentation différée ¼; P > 0,05). Aucune différence significative n'a été constatée en matière de satisfaction de la patiente (P > 0,05). Aucune différence n'a été constatée en ce qui a trait à la fréquence de l'iléus postopératoire ni en ce qui concerne le délai moyen avant le retour de l'appétit, de l'expulsion de flatuosités et de la défécation. Conclusion : La reprise postopératoire précoce de l'alimentation semble être une pratique sûre et bien tolérée par les patientes ayant subi une chirurgie gynécologique majeure. La durée de l'hospitalisation postopératoire, la satisfaction de la patiente et les symptômes gastro-intestinaux sont comparables chez les patientes qui connaissent une reprise postopératoire précoce de l'alimentation et chez celles pour qui cette reprise est différée.


Asunto(s)
Nutrición Enteral , Procedimientos Quirúrgicos Ginecológicos/psicología , Procedimientos Quirúrgicos Ginecológicos/estadística & datos numéricos , Tiempo de Internación/estadística & datos numéricos , Satisfacción del Paciente/estadística & datos numéricos , Cuidados Posoperatorios , Adulto , Nutrición Enteral/métodos , Nutrición Enteral/estadística & datos numéricos , Femenino , Humanos , Masculino , Persona de Mediana Edad , Cuidados Posoperatorios/métodos , Cuidados Posoperatorios/estadística & datos numéricos , Resultado del Tratamiento
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